Le risque de confusion entre les produits ou leur origine n’est pas à démontrer pour apprécier l’existence d’actes de parasitisme.
Une société a pour activité la vente d’une gamme d’outillages dans un magasin et sur un site internet. En 2012, elle a découvert que l’un de ses concurrents avait mis en ligne une nouvelle version de son site internet accessible à l’adresse qui reprenait, selon elle, l’essentiel de la présentation de son propre site. Elle l'a donc assigné sur le fondement du parasitisme afin de voir réparer le préjudice qu’elle estime avoir subi. Le 14 (...)
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