L'ordonnance par laquelle le juge d'appui désigne un arbitre n'est pas susceptible de recours, sauf en cas d'excès de pouvoir.
À la suite du placement en liquidation judiciaire d'une société emprunteuse, le banquier prêteur demanda à la société garante de lui payer une certaine somme au titre de la contre-garantie du prêt accordé. Face au refus de cette dernière, le banquier prêteur mit en oeuvre la procédure d'arbitrage, prévue au contrat. La constitution du tribunal arbitral s'étant heurtée à des difficultés, le juge d'appui, a désigné un troisième arbitre, désignation (...)
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