M. X. fait grief à l'arrêt de limiter les dommages-intérêts que la banque est condamnée à lui payer, à la somme de 76 224,51 euros, outre intérêts au taux légal à compter de son prononcé, alors, selon le moyen, que la réparation du préjudice doit être intégrale. La cour d'appel constate elle-même que le préjudice subi par M. X., causé par l'abus de la banque dans la rupture de ses crédits à la société, consiste dans l'obligation dans laquelle il (...)
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