Les demandes d'annulation des mises en examen pour l'affaire de l'amiante ont toutes été rejetées.
Dans une première affaire, la cour d'appel de Paris, le 17 mai 2013, avait annulé la mise en examen des chefs d'empoisonnement, voie de fait ayant entraîné la mort, homicides involontaires, coups et blessures involontaires, abstention délictueuse de porter secours, de plusieurs personnalités. Elle avait relevé que le maintien de "l'usage contrôlé" de l'amiante avait été décidé au regard des connaissances médicales de l'époque et d'un contexte international (...)
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