La mesure générale et temporaire d’interdiction de recevoir du public n’entraîne pas la perte de la chose louée et n’est pas constitutive d’une inexécution, par le bailleur, de son obligation de délivrance. Un locataire n’est pas fondé à s’en prévaloir au titre de la force majeure pour échapper au paiement de ses loyers.
Lors du premier confinement ordonné afin de limiter la propagation de la Covid-19, les autorités publiques ontinterdit (...)Cet article est réservé aux abonnés