L'employeur, qui verse à son salarié pendant plusieurs années et de façon continue des primes auxquelles celui-ci ne pouvait prétendre, ne peut pas récupérer ces sommes.
Contestant la suppression par l'employeur en décembre 2016 du versement de primes d'équipe et de casse-croûte payées depuis février 2009, un salarié a saisi la formation de référé de la juridiction prud'homale. La cour d'appel de Paris a ordonné à l’employeur de reprendre, sous (...)Cet article est réservé aux abonnés