M. X. détenait à son domicile pour l'exercice de ses fonctions une importante collection de bijoux appartenant à son employeur. Il a été licencié pour faute grave en raison de son refus d'accepter le déménagement que lui imposait son employeur. Dans un arrêt du 28 novembre 2007, rendu sur renvoi après cassation, la cour d'appel de cour d'appel de Nîmes a dit le licenciement fondé sur une cause réelle et sérieuse. Les juges du fond ont retenu que le refus du (...)
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