Le 17 décembre 2009, la Commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers a mis hors de cause les dix-sept dirigeants et ex-dirigeants d'Airbus et d'EADS, ainsi que les trois entreprises concernées, soupçonnés de délits d'initiés. La commission des sanctions n'a pas suivi les conclusions du rapporteur. Elle a estimé que les retards portés à la connaissance de ces dirigeants ne constituaient pas une information privilégiée, donc ne pouvaient être (...)
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