Si le créancier auquel la déclaration d'insaisissabilité d'un immeuble est inopposable bénéficie d'un droit de poursuite sur cet immeuble, il reste soumis au principe d'ordre public de l'arrêt des poursuites ainsi qu'à l'interdiction de recevoir paiement des créances dont la naissance est antérieure au jugement d'ouverture.
Une banque a consenti un prêt à un entrepreneur individuel en janvier 2006. Ce dernier a fait publier une déclaration (...)Cet article est réservé aux abonnés