M. X. a demandé à titre principal la suppression de la prestation compensatoire sous forme de rente viagère qu'il versait à son ex-épouse depuis leur divorce en 1991 et subsidiairement, que celle-ci soit révisée et convertie en un capital à régler sur huit ans, déduction faite des sommes déjà versées. La cour d'appel de Lyon a accueilli partiellement sa demande subsidiaire. Les juges du fond ont énoncé que M. X. justifiait d'un changement important dans (...)
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