Sur des poursuites de saisie immobilière engagées à l'encontre de M. et Mme X., un bien leur appartenant a été adjugé à M. Y. le 14 mars 1989, puis revendu sur folle enchère à M. et Mme Z., le 15 mai 1991, l'adjudicataire n'ayant pas payé le prix. M. et Mme Z. ont obtenu l'annulation de l'adjudication sur folle enchère par arrêt du 6 mars 2003, en raison d'un vice du consentement. Le 30 janvier 1995, M. Y. avait été placé en liquidation judiciaire. Le (...)
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