En l'absence de préjudice avéré, les fautes commises par le curateur dans la gestion de la situation du majeur protégé ne justifient pas réparation.
Un juge des tutelles a placé un homme sous curatelle renforcée et son épouse sous tutelle, un mandataire judiciaire à la protection des majeurs (MJPM) étant désigné pour exercer chacune de ces mesures. Agissant au nom des deux majeurs protégés, le MJPM a donné mandat à une association de leur rechercher (...)Cet article est réservé aux abonnés