La révocation d’un testament, qui lui-même révoque un précédent testament, n’a pas pour effet de redonner effet à ce dernier, s'il n'y a pas de volonté clairement manifestée en ce sens par le défunt.
Par un testament de 1971, une femme a légué à son fils la nue-propriété de ses biens et à son mari l'usufruit.Par un testament de 1974, elle a institué comme légataire à titre universel de la quotité disponible de ses biens sa belle-fille, en (...)Cet article est réservé aux abonnés