Pouvoir souverain d'appréciation du tribunal de grande instance de l'intérêt de la mineure protégée.
Après avoir renoncé, pour son propre compte, à la succession de sa tante, M. X. a demandé au juge des tutelles l'autorisation d'y renoncer au nom et pour le compte de sa fille mineure appelée à la succession en conséquence de sa propre renonciation. Le tribunal de grande instance de Paris, dans un jugement du 6 mai 2009, a rejeté cette demande. Invoquant la modicité de l'héritage, sa propre situation de fortune et l'existence d'un important conflit familial (...)
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