Les préjudices patrimoniaux et extrapatrimoniaux découlant d’une pathologie dépressive développée par le proche d’une personne à la suite du décès de cette dernière, dont il ne saurait être exclu par principe qu’ils puissent être en lien direct avec les faits à l’origine de ce décès, sont susceptibles de donner lieu à indemnisation.
Le 14 novembre 2013, une mère a brutalement perdu son fils, alors âgé de 25 ans, à la suite d'un malaise. Dans (...)Cet article est réservé aux abonnés