Le directeur d'un centre pénitentiaire peut ordonner la rétention partielle des correspondances d'un détenu si celui-ci envoie des menaces à sa belle-soeur pour avoir accueilli sa soeur, épouse du détenu, victime de violences conjugales.
Le directeur d'un centre pénitentiaire a ordonné la rétention des correspondances qu'un des détenus adresserait à sa belle-sœur. Ce détenu a demandé au juge d'annuler cette décision en tant qu'elle porte sur ses (...)Cet article est réservé aux abonnés