Un policier qui, intervenu sur les lieux d’un attentat après neutralisation de l’assaillant, n’a pas été directement et personnellement menacé par l’agresseur, ne peut pas se prévaloir d’un préjudice en relation directe avec les infractions poursuivies et donc ne peut pas se constituer partie civile.
Un agresseur est entré dans une église et y a tué plusieurs personnes à l'aide d'une arme blanche.La police est intervenue sur les lieux et a (...)Cet article est réservé aux abonnés