Le groupe Vivendi, qui contestait la participation de deux de ses actionnaires et de l'Association de défense des actionnaires minoritaires (Adam) à une procédure collective menée aux Etats-Unis, a été débouté mercredi 13 janvier 2010 par le tribunal de grande instance de Paris. Le 25 novembre 2009, le groupe de médias et télécoms avait demandé au tribunal d'ordonner à deux petits porteurs, ainsi qu'à la présidente de l'Adam, de se désister d'une "class (...)
Cet article est réservé aux abonnés