Il ne résulte ni de l’arrêt ni des écritures de la caution que celle-ci ait soutenu devant les juges du fond le moyen tiré de l’inopposabilité à la caution de l’admission de la créance de la banque au passif de la société en raison de la non-expiration du délai de réclamation. Enfin, l’arrêt relève que par rapport au montant total de la production au passif de la débitrice qui s’élevait à 12.0670 euros, la caution n’était recherchée en (...)
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