La Cour de cassation refuse le bénéfice de l'exception de bonne foi au directeur de la rédaction et à une journaliste de Causeur : en leur qualité de professionnels de l'information, une enquête sérieuse de leur part aurait permis de démontrer l'absence de base factuelle pour affirmer à trois reprises dans un article qu'un réalisateur français avait été condamné pour complicité de tentative de meurtre.
Le directeur de publication et l’une des autrices (...)Cet article est réservé aux abonnés