Le droit de retrait et de repentir de l'auteur ne doit pas être exercé à des fins économiques ou de vengeance.
Lors de sa faillite, un bar voit ses meubles vendus aux enchères. Ils sont alors achetés par un autre bar, notamment des tables peintes par un artiste qui refuse que ses œuvres soient utilisées par le nouvel acquéreur. Il décide alors de l'assigner, afin de voir respecté son droit de retrait et de repentir. Au soutient de sa demande, il fait valoir que, titulaire d'un droit exclusif sur ses œuvres et pouvant seul décider de l'exploitation de celles-ci, il "ne (...)
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