Dans un jugement rendu le 23 novembre 2006, le tribunal de grande instance de Paris a considéré que les personnes qui avaient été filmées dans un documentaire "être et avoir" n'étaient ni des acteurs ni des coauteurs et ne pouvaient dès lors prétendre à aucune rémunération. Cependant, le tribunal a accordé 1.500 euros de dommages et intérêts à chaque famille, estimant que le réalisateur et les producteurs n'avaient pas respecté leur droit à l'image en (...)
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