Cassation de l’arrêt d’appel déclarant prescrites des demandes relatives à des enregistrements sur supports physiques sans prise en compte de la date à laquelle le requérant a eu connaissance des faits qu’il incrimine.
La veuve et légataire universelle d’un auteur-compositeur et artiste-interprète, estimant qu’une société commercialisait, sans autorisation, des disques illustrés de photos de l'artiste, des fichiers numériques ainsi que des compilations de chansons dont le défunt était l’auteur, a assigné cette dernière. La cour d’appel de Paris a rejeté les demandes de la requérante, relatives aux enregistrements sur supports numériques, au motif que (...)
Cet article est réservé aux abonnés