La cyberviolence est reconnue comme un aspect de la violence faite aux femmes et peut se présenter sous la forme de violations informatiques de la vie privée, d’intrusion dans l’ordinateur de la victime et de prise, partage et manipulation des données et des images, y compris des données intimes.
L’affaire concerne des allégations de violence conjugale et de violation du secret de la correspondance électronique par l’ex-époux de la requérante qui dénonçait des défaillances dans le système de protection des victimes de violences de ce type. Dans un arrêt du 11 février 2020, la Cour européenne des droits de l'Homme précise que la cyberviolence est reconnue comme un aspect de la violence à l’encontre des femmes et des filles et peut se présenter (...)
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