La divulgation par des médias de données à caractère personnel dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un journaliste slovaque ne peut être imputée à l'agence Europol, estime le Tribunal de l'Union européenne.
Dans le cadre d'une vaste enquête menée par les autorités slovaques à la suite de l’assassinat, le 21 février 2018, d’un journaliste et de sa fiancée, l’Agence de l’Union européenne pour la coopération des services répressifs (...)Cet article est réservé aux abonnés