En ne mettant pas en oeuvre de manière adéquate les mécanismes juridiques pour protéger une gardienne de prison ayant subi des brimades après avoir dénoncé des faits commis par ses collègues, le Monténégro a violé l'obligation de l'Etat de protéger ses droits.
Une gardienne de prison monténégrine a dénoncé cinq collègues pour un incident au cours duquel, ayant été autorisés à entrer dans la prison pour femmes dans laquelle elle travaillait, (...)Cet article est réservé aux abonnés