La liberté d’expression d’un ancien Président n’est pas violée lorsque celui-ci a été condamné pour avoir tenu, publiquement, des propos offensant ayant terni la réputation d’un avocat inconnu des médias.
Un avocat croate, exerçant en France en 2006, a porté plainte, au nom d’un de ses clients, contre onze ressortissants de la même nationalité. Parmi eux figurait le Président de la Croatie encore en exercice, accusé de tentative de meurtre et (...)Cet article est réservé aux abonnés