Les autorités russes n’ont pas mis en place de mesures visant à prévenir les agressions motivées par la haine contre les personnes LGBTI lors d'une manifestation et n’ont pas mené d’enquête effective sur les allégations d'agressions pour des motifs homophobes.
Onze ressortissants russes, tous membres de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre et intersexe (LGBTI), ont subi des agressions à caractère homophobe lors de manifestations (...)Cet article est réservé aux abonnés