Le fait de placer en garde à vue des manifestants pour un “contrôle d’identité approfondi” alors que cette détention ne vise qu'à les éloigner de la manifestation viole la Convention EDH.
L’affaire concerne le confinement des requérants, lors d’une manifestation prévue le 1er mai 2011, à l’intérieur d’un cordon de police (une mesure désignée en anglais par le terme "kettling" ou technique de "l’encerclement") et la détention subséquente (...)Cet article est réservé aux abonnés