Un employeur n’a pas à informer un salarié de son droit de demander que les motifs de la lettre de licenciement soient précisés.
Une salariée a été convoquée à un entretien préalable à un licenciement.L’entretien a été reporté plusieurs fois. Le licenciement pour faute grave a été prononcé le 2 février 2018. La cour d’appel de Colmar a considéré que le licenciement était régulier et bien-fondé.Elle a relevé que la lettre de licenciement (...)Cet article est réservé aux abonnés