Sauf abus, les opinions que le salarié émet dans l'exercice de son droit à l'expression directe et collective sur le contenu, les conditions d'exercice et l'organisation de leur travail ne peuvent motiver une sanction ou un licenciement.
Un salarié licencié a saisi les prud'hommes. La cour d'appel de Lyon a dit le licenciement justifié par une cause réelle et sérieuse.Elle a retenu que lors de la réunion d'expression collective des salariés, il a, en (...)Cet article est réservé aux abonnés