Il ne peut exister d’indivisibilité entre l’état des créances déposé au greffe du tribunal de la procédure collective, comportant les relevés des créances résultant d’un contrat de travail, et une décision de justice déterminant l’étendue de la garantie de l’AGS.
Dans un arrêt du 7 juillet 2021 (pourvoi n° 18-18.943), la Cour de cassation précise qu’aucune forclusion n’est opposable à l’exercice de l’action du salarié, prévue à (...)Cet article est réservé aux abonnés