La Cour de cassation a jugé qu'une entreprise qui a informé l'inspection du travail et a cessé de faire circuler dans la même voiture une salariée et son collègue suspecté de faits de harcèlement sexuel a fait tout ce qui était en son pouvoir pour respecter son obligation de sécurité.
Une salariée a été engagée par une société le 14 novembre 2013 en qualité d'ambulancière. Elle a été licenciée pour inaptitude et impossibilité de reclassement le (...)Cet article est réservé aux abonnés