Pour bénéficier d'une indemnité en réparation de son préjudice d'anxiété, le salarié doit justifier d'un préjudice d'anxiété personnellement subi résultant d'un risque à une exposition d'une substance toxique. La seule exposition à ce risque ne suffit pas.
Lors de leur licenciement pour motif économique, l'employeur a remis aux salariés une attestation d'exposition au benzène.Les salariés ont saisi la juridiction prud'homale pour obtenir (...)Cet article est réservé aux abonnés