Le préjudice de perte de loyers subi par le bailleur en raison de la résiliation tardive par l'administrateur judiciaire du locataire s'analyse en une perte de chance et ne peut faire l'objet de dommages et intérêts correspondant aux loyers non perçus.
Une société a donné en location du matériel d'éclairage et de sonorisation. La société locataire a été mise en redressement judiciaire. L'administrateur provisoire a résilié le contrat trois mois plus (...)Cet article est réservé aux abonnés