Ni l'incertitude sur l'origine d'une panne ni la difficulté à déceler cette origine ne suffisent à écarter les présomptions pesant sur le garagiste.
Un homme a acquis un véhicule automobile neuf devant servir à son usage professionnel de chauffeur de taxi. Le véhicule, confié à l'entretien régulier d'un garagiste, a connu des dysfonctionnements répétés et persistants en dépit des réparations effectuées.L'automobiliste a assigné le garagiste en (...)Cet article est réservé aux abonnés