C'est sans inverser la charge de la preuve que la cour d'appel, qui n'était pas tenue de caractériser l'impossibilité absolue du testateur, atteint d'une maladie neurodégénérative le rendant incapable de lire, en a déduit, en l'absence de certitude sur l'expression de ses dernières volontés, que l'acte devait être annulé.
Deux mois après avoir été placée sous tutelle, une femme est décédée en laissant pour lui succéder ses frère et sœur.L'année (...)Cet article est réservé aux abonnés