L'auteur de l'article constate que la loi du 13 mars 2000, portant adaptation du droit de la preuve aux technologies de l'information et relative à la signature électronique, n'a pas abouti à la sécurité juridique que le législateur souhaitait installer. Une des raisons pour lesquelles cette loi a échoué tient à l’absence de réflexion, dans sa précipitation de consécration juridique, du législateur sur la chose électronique, à savoir qu'un écrit (...)
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