La qualification, par un opposant politique, du maire RN d'Henin-Beaumont d'"autocrate raciste au comportement de patron-voyou harceleur avec Ies agents" n'a pas dépassé les limites admissibles de la liberté d'expression au sens de l'article 10 de la Convention EDH.
Le maire RN de Henin-Beaumont a porté plainte et s'est constitué partie civile du chef d'injure publique envers un citoyen chargé d'un mandat public à l'encontre d'un administré qui avait publié (...)Cet article est réservé aux abonnés