La CJUE juge que la collecte de données relatives à la civilité des clients n’est pas objectivement indispensable, en particulier, lorsqu’elle a pour finalité une personnalisation de la communication commerciale.
Une association contestait la pratique de la SNCF qui oblige systématiquement ses clients à indiquer leur civilité ("Monsieur" ou "Madame") lors de l’achat de titres de transport en ligne. Saisi de ce litige, le Conseil d’Etat a, dans un (...)Cet article est réservé aux abonnés