L'adoption plénière de l'enfant du conjoint, permise lorsque l'enfant n'a de filiation établie qu'à l'égard de ce conjoint, requiert le consentement de celui-ci, lequel peut être rétracté pendant deux mois. Le consentement donné, qui ne se rattache pas à une instance particulière, n'est alors pas limité dans le temps.
Une femme a donné naissance à un enfant en janvier 2016. Son épouse a sollicité une adoption plénière de l’enfant en avril 2016, à (...)Cet article est réservé aux abonnés