Pour le juge des référés du Conseil d'Etat, l'abattage de 35 arbres en centre-ville, lesquels présentaient des risques pour la sécurité des piétons et des réseaux de canalisation, opération assortie de mesures de compensation, ne porte pas atteinte au droit de chacun de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé.
Une association a demandé au juge des référés du tribunal administratif de Montpellier de suspendre l'exécution d'un (...)Cet article est réservé aux abonnés